Découvrir sur une journée de formation une vision différente du lien qu’il y a entre l’alimentation et l’autonomie de la personne dépendante.
L’alimentation, tout comme l’activité musculaire sont des éléments de santé capitaux chez tout individu et d’autant plus chez la personne âgée, qu’elle soit indépendante, dépendante ou hospitalisée.
Ce lien entre l’alimentation et autonomisation de la personne âgée est d’autant plus important lorsque la personne perd son autonomie (que cela soit à domicile ou en institution) car le non-respect de ce lien impactera son pronostic physique, émotionnel et mental.
Pour ce qui est de l’alimentation, nous observerons dans bien des cas, elle n’est pas suffisamment respectée ni équilibrée, malgré des efforts bienveillants, générant un affaiblissement progressif de l’état de santé en général.
Le NON respect de ce lien pourra donc être considéré comme une raison fondamentale de l’aggravation de l’état de santé de la personne âgée et pourra avoir des conséquences importantes sur la morbidité, la mortalité ou tout simplement la qualité de vie du résident, mais aussi sur les coûts de sa santé.
“Notre aliment est notre premier remède” (Socrate 440 AV JC)
Si vous souhaitez en savoir plus, lisez la suite :
Ce programme, destiné à toute personne accompagnant les personnes âgées et/ou dépendantes, que cela soit en soins, en services ou en cuisine a pour rôle d’apporter des clés complémentaires et inédites sur l’alimentation en général.
Créé par Sylvère Caron en Suisse Romande en partenariat avec l’Association Vaudoise des Établissements Médico Sociaux et le Centre Hospitalier Universitaire de Lausanne, il est certainement un des fondements de l’accompagnement des personnes âgées et/ou dépendantes en Suisse.
Cette connaissance du fonctionnement du corps humain, des neurosciences, permettra aux participants de pouvoir en premier lieu prendre soin d’eux-mêmes (car pour pouvoir prendre soin des autres, il faut déjà apprendre à prendre soin de soi-même), mais surtout et plus que tout, leur donnera des clés afin de pouvoir optimiser leur travail d’accompagnant.
Notre corps doit nous amener d’un point A (naissance) à un point B (fin de vie), notre rôle est de faire en sorte que ce trajet soit le plus long possible et dans les meilleures conditions possibles, que cela soit pour nous-même que pour les personnes que nous prenons en charge.
Cela passe par la conscience du fonctionnement physiologique de l’être humain et parfois par un bon coup de balai sur beaucoup d’idées préconçues.
Pédagogie active et participative incluant apports théoriques et exercices de groupe.
Formateur
Sylvère Caron
Public concerné
Tout public
Pré-Requis
Aucun
Durée
1 journée
Nombre de places
6 Mini – 12 Maxi
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